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           Ce que je vais vous raconter s’est déroulé dans un cadre professionnel il y a quelques années et ce type d’incident n’a hélas rien de rare!...

    Un de nos collègues, appelons-le Mr R, avait l’habitude de venir saluer l’ensemble du service en milieu de journée (son bureau étant assez éloigné).

    Il jetait un coup d’œil à travers les portes ouvertes, et lorsqu’il n’apercevait aucun collègue masculin s’écriait : « Mais il n’y a personne ici aujourd’hui ! ».  Je précise que notre service était constitué à ce moment-là d’environ 75% de femmes qui se trouvaient parfois toutes présentes lors de sa visite !

    Je précise également que dans ce service, presque tous les hommes (dont l’intéressé) et seulement une minorité de femmes, détenaient des fonctions d’encadrement.

    Au début, la plupart des personnes présentes lui faisaient remarquer que sa réflexion était pour le moins incongrue; il souriait alors d’un air (faussement) contrit mais recommençait à la moindre occasion, à mon avis sans malice !

    Ecœurant non ?

    Cette personne a pris sa retraite et s’en est allée promener son machisme ordinaire à travers les DOM TOM…

     

     


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          Gabriele Münter est une artiste peintre Allemande appartenant au mouvement expressionniste, née à Berlin en 1877 et décédée à Murnau en Bavière en 1962.

    Elle vécut une longue relation amoureuse et artistique avec Vassily Kandinsky avec qui elle fonda le groupe expressionniste d’avant-garde « Le cavalier bleu » (Der Blaue Reiter) 

    Sa peinture fut très influencée par la découverte de Matisse et du fauvisme. 

    Gabriele Münter souffrit de dépression chronique pendant une partie de sa vie, ce qui ne l’empêcha pas de créer, notamment des lithographies sur bois ou sur métal, des portraits au crayon et des natures mortes, ainsi que des toiles abstraites à l’huile. 

    Lorsque les nazis qualifièrent les oeuvres des peintres du « Cavalier Bleu » d’art dégénéré, Gabriele Münter cacha leurs tableaux dans le sous sol de sa maison. Quelques années avant de mourir, elle offrit toute sa collection à la ville de Munich.  

      Je vous propose d’admirer ci-dessous quelques œuvres de Gabriele Münter,  pleines de charme et de poésie. J’aime y retrouver le trait foncé cernant les formes ainsi que l’intensité des couleurs caractéristiques de l’expressionnisme.

     

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     Copie de IMG 0264Nous avons tous en mémoire les  images d’endroits que nous avons bien  connus mais que nous n’avons pas eu  l’occasion de visiter depuis longtemps.  Ces images sont très précises et pourtant…


    Copie de IMG 0263

    Ainsi un matin, il y a quelque temps, je me retrouvai au volant de ma voiture afin d’accompagner mon fils passer un concours dans l’université d’une grande ville de notre région.

    Avant de partir je me suis dit (et je lui ai dit) : « Pas de problème, j’ai suffisamment traîné dans cette fac, nous ne risquons pas de nous y perdre ». Seulement voilà, c’était il y a ….années (je n’en dirai pas plus, ça risque de vous miner autant que moi).

    Ce matin-là, nous partons de bonne heure, et le GPS nous amène au bord de la zone piétonne du campus ; je gare la voiture et nous nous avançons. « Alors Mam, on va où ? » « Eh bien … à droite ». Je tente désespérément de me repérer au milieu de tous ces bâtiments nouveaux pour moi et de ces pelouses traversées par les rails du tramway… Après quelques regards circulaires et désespérément contre-productifs, je me décide à avouer : « En fait, je ne reconnais presque rien, je ne sais plus me repérer ici ! »

    Un curieux maelström s’est infiltré dans mon esprit. Je reconnais ce hall et ces amphis, ensuite je me retourne et tout est différent… cette rampe inclinée utilisée par les étudiants handicapés n’a pas changé, mais là à droite se trouvait une cafétéria qui a manifestement été remplacée par une médiathèque… Les cours de tennis ont disparu ou bien ont été déplacés…

    Des panneaux d’information nous aident heureusement à trouver la salle dans laquelle auront lieu les épreuves du concours. " Bonne chance, à ce soir !" 

     

    senta.jpgLivrée à moi-même sur le campus vide, je chemine lentement sur les pas de la jeune étudiante de jadis…L’émotion a fait place à un certain calme intérieur. Tout autour de moi, mêlés au bruissement des feuilles, j’entends les voix feutrées et les rires d’avant…Pierre le libertaire qui aimait tant Leo Ferré, Anouk, Sacha…et ma propre voix d’alors, déjà voilée, accompagnée de mon inséparable guitare…Copie-de-groupe.jpg

    Ma mémoire et mes sens aiguisés à l’extrême se rejoignent dans un tourbillon temporel, s’enlacent, virevoltent, créant ainsi de concert une œuvre qui s’intitulera: « nouveaux souvenirs ».

    Ainsi va la mémoire…

     



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    Je suis une blogueuse occasionnelle, ayant choisi de ne pas consacrer une trop grande partie de mon temps libre (hélas non extensible) à une activité très agréable mais chronophage.

    Le mois dernier j’ai copié le contenu de mon blog Overblog sur une autre plateforme de blog, ce qui m’a donné l’occasion d’examiner la totalité du contenu de mon blog. Or en étudiant son site, chaque blogueur peut découvrir beaucoup de choses sur lui-même au travers des articles et sujets choisis.

    Lors de cet examen, j’ai très vite remarqué qu’un grand nombre d’articles appartenant aux rubriques photo ou peinture, étaient traités par séries plutôt que par thèmes (séries de couleurs, de chiffres, de personnages …) 

    Ce qui m’a amenée à m’interroger : est-ce que j’aime particulièrement les séries, les séquences, les répétitions, ou bien s’imposent-elles à moi ? Peut-être ont-elles la fonction de me rassurer comme  les gestes compulsifs pour certaines personnes ou les images et objets kitschs pour d’autres…



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